Marina RosenfeldUS
C'est au nord que se sont rencontrés les nappes, les rythmes du canadien Millimetrik (Pascal Asselin) et les expérimentations numériques du français Monobor (Philippe Pasquier). Leur travail est un aller-retour perpétuel entre musique expérimentale, électronica et musique électronique populaire. Les morceaux sont généralement composés d'échantillons hachés et re-séquencés par des patchs 'Pure-Data' (environnement de traitement du signal en temps réel). Leurs sources sont divers et vont d'échantillons de machines analogiques branchées en « rhizome » (lire structure d'interdépendance non hiérarchique) réalisés par Monobor avec Robonom (un collectif de créateurs répartis entre Paris, Berlin, Nantes et Québec) aux cymbales de Millimetrik. Ils offrent la chaleur de leurs compositions pour braver les tempêtes du Samiland. Écoute active requise.
C'est au nord que se sont rencontrés les nappes, les rythmes du canadien Millimetrik (Pascal Asselin) et les expérimentations numériques du français Monobor (Philippe Pasquier). Leur travail est un aller-retour perpétuel entre musique expérimentale, électronica et musique électronique populaire. Les morceaux sont généralement composés d'échantillons hachés et re-séquencés par des patchs 'Pure-Data' (environnement de traitement du signal en temps réel). Leurs sources sont divers et vont d'échantillons de machines analogiques branchées en « rhizome » (lire structure d'interdépendance non hiérarchique) réalisés par Monobor avec Robonom (un collectif de créateurs répartis entre Paris, Berlin, Nantes et Québec) aux cymbales de Millimetrik. Ils offrent la chaleur de leurs compositions pour braver les tempêtes du Samiland. Écoute active requise.